Dîner d'affaires

Catégories : Femmes soumises SM camisole
il y a 4 ans

Une soirée d'été. Je vous ai téléphoné il y a quatre jours à votre bureau pour vous dire que je vous veux ce samedi soir et pour que vous vous organisiez (que vous endormiez votre mari au s o m n i f è r e ou que vous lui fournissiez n'importe quelle explication m'importe peu, ce que je veux c'est que votre corps soit disponible). Je vous ai à nouveau appelée hier après-midi pour vous dire qu'un fax allait arriver avec mes instructions. Vous vous êtes précipitée au secrétariat pour récupérer le fax avant que la secrétaire ou un de vos collègues ne puisse le lire. Ils étaient trois dans le bureau à discuter et à vous bloquer le passage ; la première page arrivait et la secrétaire se dirigeait vers la machine quand vous avez réussi à l'intercepter. Déjà cette boule à la gorge et ce noeud dans les tripes.....

Ce soir, vous vous êtes préparée, enfin, c'était vite fait, les ordres étaient simples : vous partirez de chez vous en voiture, entièrement nue, maquillée, parfumée, avec votre collier au cou et la laisse (une chaîne de petits maillons) accrochée au collier et enroulée autour de votre taille comme une ceinture. Votre mari vous fait la gueule depuis deux jours (vous allez de nouveau "passer la nuit chez votre copine C."; elle a vraiment bon dos, mais vous avez bien sur dû la prévenir, pour pas qu'elle appelle alors que vous êtes supposée être chez elle ; elle en a ri et vous a une nouvelle fois traitée de salope). Il vous ignore, mais vous n'osez quand même pas quitter la maison nue, vous avez peur qu'il vous observe à la sauvette. Vous passez une robe que vous enlèverez plus tard et laisserez sur le siège arrière (vous savez que vous allez vous dénoncer et que vous allez être punie pour cette désobéissance ; tant pis ; ou tant mieux...).

Avec le plan que je vous ai faxé vous trouvez rapidement le parking et à l'endroit indiqué un sac plastique abandonné. Vous espériez pouvoir le récupérer sans sortir de la voiture, mais ce ne sera pas possible. Il est sous un banc public, derrière une voiture, sous un lampadaire. Après de longues minutes d'hésitation, vous vous précipitez, nue, hors de la voiture et essayez d'attraper le sac pour revenir le plus rapidement possible à la voiture. Mais ce n'est pas possible. Vous découvrez que le sac est attaché au banc et qu'il vous faut d'abord le détacher. Vous vous énervez, vous paniquez un peu, ce noeud tout simple il vous faut plusieurs minutes pour le défaire ; vous voyez les voitures passer sur la route et vous entendez un groupe de jeunes qui arrivent... Vous courez vers la voiture. Dans la précipitation, la laisse s'est détachée de votre taille. Elle traîne derrière vous et en tournant autour d'une voiture derrière laquelle vous comptiez vous dissimuler, elle se coince sous un pneu. Vous voilà à quatre pattes sur le gravillon pour la dégager.

Enfin dans la voiture. Le contenu du sac est étalé sur le siège passager. Une lettre, une paire d'escarpins rouges à très hauts talons, une minijupe en vinyle rouge brillante, un minuscule bustier dans la même matière et une courte veste sans bouton ni fermeture également dans la même matière (une sorte de boléro plutôt qui laisse une partie de votre ventre apparent) et deux fin bracelets de cheville en cuir noir. Vous ouvrez la lettre. "Enlevez la laisse et habillez vous. Sortez de la voiture. Prenez la laisse avec vous. A gauche du parking, à 300 mètres, il y a un restaurant. Je vous attends à l'intérieur. Vous me donnerez la clé de votre voiture en arrivant."

La rue est sombre, heureusement déserte. Vous marchez rapidement, vos talons claquent, vous vous tordez quelques fois les chevilles. Enfin vous arrivez.

Vous me cherchez du regard. La salle est pleine. Vous me découvrez. Je ne suis pas seul. Trois hommes sont assis à ma table. Vous hésitez, vous vous avancez. Toute la salle a les yeux fixés sur vous. A l'instant où vous arrivez à ma hauteur, le maître d'hôtel vous intercepte, vous dit poliment mais sèchement que "les personnes de votre genre ne sont pas admises par la maison". Vous lui expliquez que vous êtes attendue, que je suis là, déjà assis, mais il tente de vous repousser vers la sortie. Le ton monte un peu, les couteaux et les fourchettes sont devenus silencieux et tous les regards sont braqués sur vous, collent sur vos cuisses, appuient sur votre ventre, glissent sous votre veste. Enfin le maître d'hôtel se retourne, s'approche de moi, se penche et me dit : "Cette personne prétend être invitée par Monsieur, est-ce vrai ?" "Oui." "Je regrette Monsieur, mais la direction n'apprécie pas cette clientèle ... euh .... voyante." "Vous demanderez à la direction si elle préfère se passer de ma clientèle. Je trouve cette chose plutôt décorative et je ne pense pas qu'elle va chasser les clients. Au contraire, regardez-les, ils semblent fascinés." A ces mots, une dizaine de paires d'yeux les plus proches plongent dans leurs assiettes pour éviter mon regard et leurs propriétaires semblent soudainement préoccupés par leur nourriture.

Vous êtes toujours debout. Le cerbère s'éloigne. Vous vous approchez de moi. Je vous indique une chaise vide. Vous vous asseyez, vous sentez le cannage de la chaise sous vos cuisses. Vous me tendez la clé de votre voiture.

Je ne vous présente pas mes convives qui vous regardent attentivement. Nous sommes en train de boire l'apéritif. Sans vous consulter, je commande pour vous une carafe d'eau. Regard noir du maître d'hôtel. Lorsque le serveur arrive avec votre eau, je vous reprends sur votre position. Vous n'êtes pas assez cambrée et vos genoux sont trop serrés ; je vous ordonne aussi d'enlever vos chaussures. A la table voisine un homme âgé se baisse pour la deuxième fois pour ramasser sa serviette et son regard furtif se perd sous notre table. Dans votre dos, deux femmes, plus jeunes que vous, petites bourgeoises pincées, commentent à voix haute "l'allure de la putain en rouge".

Pour profiter du beau temps, des tables ont été dressées dans le parc. Je suggère de manger à l'extérieur et nous sortons. Vous me suivez, la laisse et vos chaussures à la main. Regard furieux du maître d'hôtel, autres regards englués à vos cuisses marquées par le cannage de la chaise. Je choisis la table où nous nous installons, un peu à l'écart, mais pas autant que le maître d'hôtel l'espérait. (Il nous aurait volontiers fait dresser une table en exil derrière les bosquets du fond du parc). Il y a très peu de clients attablés à l'extérieur et je vous assieds en face de moi, le dos aux autres clients. Un de mes convives s'absente et revient bientôt avec un grand chien (une allure de berger allemand, mais entièrement noir et à poils un peu plus long ; en fait un groenendael) ; il s'assied à côté de vous et attache la laisse du chien au pied de sa chaise. Le chien se couche docilement, mais pas sans avoir pointé sa truffe humide et froide vers vos genoux et vers vos pieds.

Je me lève, prends votre laisse posée sur la table, l'accroche à votre collier puis l'attache au pied de votre chaise (une chaise en treillis plastifié dont j'ai enlevé le coussin). Nous commandons le repas et la boisson. Votre voisin vous passe le menu mais quand vous commencez de dire votre choix au serveur (le maître d'hôtel nous snobe), je vous interromps et déclare que vous vous contenterez d'un repas très léger et je commande pour vous. Je commande aussi une deuxième carafe d'eau pour vous. Les yeux du serveur sont aimantés par la laisse. Pendant le repas, je vous fais écarter les pans de votre veste puis enlever le bustier ; je vous ordonne de reculer votre chaise, de vous pousser en arrière et d'écarter les jambes. De temps à autre, le chien lève la tête, hume, ou pose sa truffe humide contre votre jambe proche de lui, puis repose sa tête entre ses pattes, indifférent.

Le serveur, lui, n'est pas indifférent et il papillonne autour de notre table. Je reprends la discussion avec mes convives (en fait mes clients). Je vous fais boire beaucoup d'eau et j'en redemande au serveur. Avant le dessert, une petite brise vous fait frissonner et vous me demandez la permission d'aller aux toilettes. Je vous réponds que le cerbère vous en interdira probablement l'accès et je vous ordonne de pisser ici, dans l'herbe, assise sur votre chaise, à travers le treillis. Vous rougissez et après de longues secondes, après des coups d'oeil furtifs de côté, vous obéissez, d'abord doucement, puis de plus en plus fort. Personne ne vous regarde, personne ne vous remarque, mais vous êtes certaine d'être le point de convergence de tous les regards. Le chien se lève, vient renifler l'herbe sous votre chaise, puis votre chaise, puis votre sexe en travers du treillis. Il se couche à nouveau.

Je me lève, détache votre laisse et vous entraîne dans le parc, à l'écart, sans vous permettre de refermer votre veste. Vos seins sont gonflés, les tétons tendus. Je m'arrête au bord d'un petit bassin peu profond, je vous y fait entrer. L'eau vous arrive à mi-mollet, je vous fait vous accroupir et vous laver le sexe. On ne peut vous voir que depuis la table de mes invités, qui bien sûr ne vous quittent pas des yeux. Je vous entraîne à l'abris des regards.

"Florence, c'est l'heure du dessert, je vais en profiter pour signer un contrat avec mes clients. Vous allez attendre ici." En même temps, je vous pousse à genou au pied d'un sapin, je vous menotte les mains dans le dos, place une pince sur chacun de vos tétons et les relie par une chaînette qui fait le tour de l'arbre, plaquant et râpant vos seins découverts contre l'écorce rugueuse et maculée de poix. Vous tournez difficilement la tête pour me voir m'éloigner.

Un quart d'heure plus tard, vous entendez des pas approcher d'une autre direction, les crissements du gravier, des branchages qu'on écarte. Une ombre s'approche. Vous tardez à me reconnaître. Grand soupir. Je m'accroupis à côté de vous, vous flatte les fesses, tire sur les quelques poils qui restent au-dessus de votre fente (votre mari n'a jamais compris pourquoi vous vous épilez de cette façon qu'il qualifie de "ridicule").

Je me redresse, j'appuie contre votre dos, presse votre poitrine contre le tronc (vous collez un peu contre la poix), j'attire votre tête contre ma braguette. "Ouvrez". Vos lèvres se tendent vers les boutons et lentement, avec vos lèvres, vos dents, votre langue et votre nez vous parvenez à ouvrir les trois boutons (j'évite les fermetures éclair uniquement pour le plaisir de voir ces efforts !), lentement, péniblement, avec le mouvement de votre torse, qui tendent les pinces et frottent votre poitrine contre l'écorce. Vous plongez dans l'ouverture pour essayer de retirer ma bite, déjà en érection et difficile à dégager, puis vous l'avalez et commencez de me caresser avec votre langue et votre gorge.

Après quelques minutes, je retire brusquement ma queue de votre bouche, me rhabille, je retire la chaîne et les pinces, je vous tords les tétons, longuement. Je vous entraîne par la laisse en direction du restaurant, vos seins toujours à l'air et votre jupe troussée sur vos reins. A quelques mètres du but, je m'arrête et vous dirige vers une table abritée sous une sorte de tonnelle. La terrasse du restaurant est invisible d'ici, sauf la table où attendent mes trois clients. Et le chien. Je passe la laisse autour d'une poutre de la tonnelle au-dessus de votre tête. Un des hommes se lève, nous rejoint et me demande. "Pouvons-nous passer au dernier point du contrat ?". Je me penche à votre oreille : "Nous avons signé ce contrat et le dernier point c'est une prime que j'accorde à mes clients. Florence, vous me répétez être ma pute, c'est le moment de le prouver car la prime c'est vous. Vous allez vous montrer très docile avec mes clients et faire ce qu'ils voudront." Votre tête se vide et résonne, vous vacillez.

Je pose un paquet de capotes et la clé des menottes sur la table et je m'éloigne alors que déjà l'homme vous penche en avant, écrasant votre visage et votre poitrine sur la table froide et déjà humide de la nuit. Immédiatement son sexe pointe contre le vôtre, vous écarte et vous pénètre brusquement, vous arrachant un cri. Plus tard, il ouvre votre anus et se vide en vous, vous écrasant de son poids sur la table.

Il s'éloigne, bientôt remplacé par le deuxième qui vous remet debout, détache les menottes, passe vos mains devant, vous remet les menottes et les accroche au mousqueton qui relie la laisse à votre collier. Avec un couteau, il coupe une branche d'un arbuste, enlève les feuilles et commence de vous flageller les fesses, les cuisses et le dos. Il vous ordonne d'écarter les jambes, passe devant vous et frappe l'intérieur des cuisses puis votre sexe. Il vous tire vers la table, vous y étale en dos, les fesses à ras du bord, écarte vos cuisses au maximum et pénètre votre chatte béante.

Le troisième s'est levé et s'approche, suivi par le chien qu'il vient de libérer. Il se place de l'autre côté de la table, vous attrape par les cheveux, tord votre tête en arrière, vous ouvre la bouche avec ses doigts et enfile son sexe profondément dans votre gorge. Votre tête pend dans le vide, votre nez sous sa bite, ses couilles frappent votre front en cadence, sa forte odeur de mâle vous prend au nez. Il se retire brusquement, enlève son préservatif et décharge sur votre visage. Le deuxième homme s'active toujours dans votre sexe. Avec ses mains, il triture vos lèvres et votre clitoris, puis passe à vos seins, revient à votre sexe. Il est très endurant et vous lime longuement avant d'enfin éjaculer. Il se retire, jette son préservatif, reprend son souffle et s'éloigne avec le troisième homme, sans un regard pour vous.

Le chien se lève, s'approche de vous encore couchée sur la table, se dresse sur ses pattes arrières, pose ses pattes avant sur la table, promène sa truffe sur tout votre corps, vous renifle, vous lèche les doigts. Vous fermez les yeux, vous tremblez, apeurée, mais il s'en va rejoindre son maître (je vous dirai plus tard que c'était une femelle).

Vous vous asseyez et vous voyez les trois hommes s'en aller, me remerciant pour la soirée. L'un d'eux reste en arrière et vous l'entendez me demander "le numéro de téléphone de la pute". Vous m'entendez lui répondre que je ne l'ai pas sur moi, mais que si il a besoin des services d'une vide couilles docile, il peut toujours m'appeler et je transmettrai. Il s'attarde, continuant de parler de vous, demandant ce que vous acceptez de faire, etc. et vous m'entendez lui répondre, expliquer certaines de mes exigences. Enfin il s'en va et je viens vous enlever les menottes et détacher la laisse.

Je vous emmène de nouveau au bassin pour vous faire vous laver et rajuster ce qu'il vous reste de vêtements. Nous retournons à table à l'instant où le serveur arrive avec l'addition. Je la règle et nous nous dirigeons vers le parking (sans passer par le restaurant), vous toujours menée en laisse, vos chaussures à la main. Je vous fais monter dans ma voiture et enlever la jupe et la veste et les mettre dans un sac avec les chaussures et le bustier. "Gardez les bracelets de chevilles, je vous les offre, vous m'avez fait très plaisir ce soir". Je démarre. Vous m'avouez être partie de chez vous avec une robe, et pas nue comme je l'avais exigé.

Je dois vous punir. J'arrête la voiture, je vous fais sortir. Je ferme à nouveau les menottes sur vos poignets, dans votre dos. Je prends un rouleau de toile isolante dans la boîte à gants, et je l'emploie pour vous bâillonner. Je vous pousse contre le capot de la voiture, vous penche en avant et vous donne une vingtaine de coups avec la laisse que je tiens pliée en deux, la poignée en cuir et le mousqueton dans la main. Puis je vous fais passer sur le siège arrière de la voiture, je vous y mets à genou, je tire votre tête vers le plancher, j'écarte vos fesses et commence de faire entrer toute la chaînette de la laisse dans votre rectum. Quand il n'y a plus que la poignée et le mousqueton qui dépassent, j'utilise la toile isolante pour obstruer votre anus. Je vous ordonne de sortir et d'aller vous asseoir à l'avant. La poignée et le mousqueton pendent et battent entre vos jambes, vous sentez le poids de la chaîne dans votre ventre, vous avez une démarche très particulière.

Je fais un large détour pour atteindre le parking où vous avez laissé votre voiture mais je m'arrête à une centaine de mètres de là, le long de la route. "Sortez. Allez à pied, sans courir, jusqu'à votre voiture. Je vais mettre la clé de la voiture et celle des menottes sous la roue avant gauche. Vous rentrerez chez vous. Vous enlèverez et nettoierez la laisse chez vous" Je démarre et vous me voyez me diriger vers le parking. Quand vous y arrivez, vous découvrez les clés à l'endroit indiqué, vous vous précipitez dans la voiture, ouvrez les menottes, arrachez votre bâillon et cherchez la robe sur le siège arrière. Elle a disparu (je l'ai emportée). Vous vous résignez à rentrer ainsi chez vous. Vous réalisez que je ne vous ai même pas sautée.

Vous voyez ma voiture devant le portail de votre maison. Je vous attends. Contrordre. "Suivez ma voiture jusque chez moi". Vous me suivez, vous cachez votre voiture dans mon garage, nous allons à la salle de bain, j'arrache la toile isolante (et quelques poils), j'extrais la laisse et enlève le collier. Je fais couler un bain, vous aide à entrer dans la baignoire et commence de vous laver, délicatement, puis je vous sèche, vous remets le collier et vous emmène dans un lit. Vous vous serrez contre moi et vous n'avez plus qu'un seul souci, qu'un seul désir, me sentir écarter votre sexe et vous baiser le plus longtemps possible.

Ce n'est que le lendemain en vous voyant dans un miroir et en sentant vos courbatures que vous vous posez une vraie question : comment expliquer les marques à votre mari, quelle excuse trouver pour qu'il ne les voit pas ?

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